L \' engoulevent voyageur !!!

L \' engoulevent voyageur !!!

La tête brûlée

La tête brûlée



Chronique du conflit Boldavo- Zotrelandais ( 1939-1945 )



Ce fût une liaison éphémère Comme il en est parfois Dans les hasard de la guerre Vous et moi. Ce fut la longue route au calvaire
On peut plus revenir en arrière Accroché à vos bras Avec le cœur qui cogne et l'autre qui s'en va !






Et l'on est plus personne et l'on en reste là. Ce fut une solution nécessaire Alors que d'aller tout droit Se dire qu'il y a tant à faire Devant soi !
C'est une pluie légère Qui court sur mon histoire Des lettres d'avant-guerre Et leurs parfums bizarres !



Un p' tit gars d' la terre !!!

 





Les orgueilleuses alors avaient la fièvre ! Et passaient sans vous voir J'voudrais leur dire une dernière fois bonsoir !

J'm'en vais mourir dans l'air du soir !



Pourtant est-ce que j'peux être plus sincère ! J'ai parfois du mal à joindre les deux bouts ! Mais depuis l'année où je suis revenu d'la guerre ! J'ai jamais manqué à ses rendez-vous ! Pas du tout !





J'lui dis y a des gens sur terre ! Qui pleurent autour de nous !
Moi je n'vois rien, je suis fier Et je suis fou de vous Elle s'en fout !





Adieu la vie, adieu l'amour,
Adieu toutes les femmes.
C'est bien fini, c'est pour toujours,
De cette guerre infâme.
C'est à Craonne, sur le plateau,
Qu'on doit laisser sa peau
Car nous sommes tous condamnés
C'est nous les sacrifiés !







La Butt' Rouge, c'est son nom, l'baptême s'fit un matin
Où tous ceux qui montaient roulaient dans le ravin.
Aujourd'hui y'a des vignes, il y pousse du raisin.
Mais moi j'y vois des croix portant l'nom des copains !

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Sur c'te butt'là y'avait pas d'gigolettes
Pas de marlous ni de beaux muscadins.
Ah ! C'était loin du Moulin d'la Galette,
Et de Panam' qu'est le roi des pat'lins.






C'qu'elle en a bu du beau sang cette terre,
Sang d'ouvriers et sang de paysans,
Car les bandits qui sont cause des guerres
N'en meurent jamais, on n'tue qu'les innocents !

Démontage de la jeep !!! 




FUYEZ PAUVRE FOUS FUYEEEEZ !!!  
_________________



Dans l'orage d'une forêt sans âge
Aux abords du Poitou
A l'automne où je vivais chez vous
J'ai vu le visage d'une enfant sauvage
Qui portait un bijou
Les yeux verts noyés de cheveux roux
A l'automne où je vivais chez vous

Idée et réalisation : ENGOULEVENT 57

Paroles , extraits de chansons : William Sheller & divers   



09/10/2007
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